Le bitcoin : une véritable monnaie ?

Le Bitcoin est une cryptomonnaie destinée à faciliter les achats de biens et services en ligne. Il s’agit d’une monnaie immatérielle non soumise à la régulation d’organismes financiers ou de banques centrales. En tout cas, dans le monde virtuel, il dispose de toutes les propriétés pouvant le qualifier de monnaie à part entière puisqu’il permet de faire des transactions en ligne. En revanche, le fait qu’il ne soit encore accepté que par une minorité d’utilisateurs peut réfréner son succès. Il doit encore prouver son utilité et son usage tout en inspirant confiance à ses utilisateurs.

Quels sont ses avantages ?

Son côté entièrement décentralisé et libre est l’un des premiers avantages du Bitcoin. Son utilisation ne nécessite l’intervention d’aucune institution bancaire ni d’organisme financier. C’est une cryptomonnaie entièrement conçue pour s’adapter au monde du web. Il optimise l’accessibilité au e-commerce dans tous les pays. Simple d’utilisation, il favorise également le paiement en ligne tout en assurant une entière sécurisation des transactions effectuées sur son réseau. Ce dernier est d’ailleurs accessible à tous. Le Bitcoin prône la transparence sans pour autant être vulnérable. Les règles cryptographiques à partir desquelles il a été conçu le rendent inviolable. Il est impossible d’usurper ou de contrefaire cette monnaie virtuelle.

Y a-t-il des établissements qui acceptent les paiements en Bitcoin ?

Pouvant être acheté sur des sites comme bitit, le Bitcoin connait de plus en plus de succès. La preuve, de plus en plus de pays intègre actuellement le Bitcoin à leur mode de paiement usuel. Le Japon l’a d’ailleurs intégré à ses autres solutions de paiement en ligne depuis 2017. Certaines plateformes, à l’instar de WordPress ou encore des sites marchands tels que Shopify et Overstock, acceptent également les paiements en Bitcoin. Le Bitcoin store a même érigé son économie sur cette cryptomonnaie. Si de plus en plus de boutiques et commerces en ligne adoptent le bitcoin, ce moyen de paiement reste encore peu populaire auprès des commerçants traditionnels.

Les banques, un poil plus exigeantes

L’année arrive à son terme et avec elle l’objectif des banques. Elles peuvent donc se permettre d’être un peu plus exigeantes quant à la qualité des profils emprunteurs. C’est une mauvaise nouvelle pour les revenus modiques.
Afin de prétendre à un prêt, affecté ou non, vous devez avoir une possibilité d’endettement conséquente et des garanties de remboursement de qualité. Encore une fois, les chouchous des banques sont avantagés.

Les profils qui ont plus de chance d’obtenir un prêt

Si vous êtes dans la quarantaine, que vous avez un CDI ; que vous disposez d’un revenu important et d’un apport personnel : vous n’aurez aucun mal à obtenir un taux attractif, pour le capital dont vous avez besoin.
Définitivement, les personnes sans emplois, qui aspire à quelques travaux de rénovation ou à l’achat d’une nouvelle voiture avant la fin de l’année ne peut prétendre qu’aux prestations de la CAF. À moins, bien entendue, d’avoir une caution solvable qui se porte garant pour eux. Ce peut être un proche parent ou un ami ou une connaissance. Ce dernier devra signer le contrat de prêt au même titre que l’emprunteur.

Pour quel prêt personnel opter en cette fin d’année ?

Pour les dépenses de fin d’année, fournir un justificatif n’est pas possible. À ce titre, un prêt personnel est bien plus opportun. Mais attention, ce n’est pas n’importe lequel.
Le crédit revolving est bien plus intéressant. Avec une offre de ce genre, vous aurez droit à un capital entre 1 000 et 5 000 euros par mois affectés à n’importe quelle dépense. De quoi vous permettre d’acheter les meilleurs cadeaux, de vous lancer dans certains travaux et organiser des fêtes.

Les renseignements relatifs à l’entreprise

Plusieurs données, chiffrées ou non, permettent d’identifier une entreprise. Découvrez ci-après les documents et renseignements obtenus après avoir immatriculé votre société.
– Les numéros Siren et Siret
Le numéro Siren permet d’identifier une entreprise et comporte 9 chiffres. Le numéro Siret, quant à lui, permet d’identifier les différents établissements composant une entreprise. Le Siret comporte 14 chiffres. Outre les 9 chiffres du Siren, il y a les 5 chiffres du NIC.
– L’extrait K-bis
L’extrait K-bis est une fiche d’identité de l’entreprise pour fournir toutes les informations la concernant à vos interlocuteurs. Il est systématiquement demandé quand vous devez constituer un document pour répondre à un appel d’offres, par exemple, pour demander un prêt bancaire ou pour entamer une relation contractuelle avec un fournisseur ou un prestataire.
– Le code APE
Tout comme le numéro Siret, le code APE est attribué par l’Insee. Ce code permet de réaliser facilement des statistiques sur les entreprises en fonction de leurs secteurs d’activité. De plus, il sert de guide pour l’entreprise, vous permettant de savoir à quelle convention collective vous appartenez. Celle-ci définit les règlements appliqués au sein de l’entreprise, principalement vis-à-vis des salariés. C’est pourquoi le code APE figure sur les bulletins de paie.
– L’avis de situation
L’avis de situation n’est pas un document figé. Il peut être obtenu à la demande quand vous en avez besoin. Il permet de justifier auprès d’un collaborateur ou d’un client que votre entreprise est encore en activité. Vous pouvez le demander auprès de l’Insee.
– Le numéro de TVA intracommunautaire
Ce numéro doit figurer sur les factures de toutes les entreprises redevables de la TVA en France ou dans l’Union Européenne. C’est une sorte d’identifiant fiscal.

La principale mission des agences de notations

Les sociétés de notation, dans leurs débuts, avaient pour objectifs la réduction des incohérences d’information dans le monde de la finance. Ceci du fait que les sociétés émettrices se devaient d’avoir les capacités de rembourser, et que les investisseurs qui n’avaient pas encore les compétences nécessaires pour faire l’analyse approfondie des émissions. De ce fait, les agences s’assuraient de fournir des opinions sur la qualité des émetteurs et leurs possibilités, de sorte à ce que les opinions puissent définir la capacité de l’émetteur à assurer le remboursement. Dans ce cadre, les rapports issus des évaluations et des analyses effectuées par les sociétés de notation permettaient aux investisseurs de délimiter et de prévenir les risques par rapport à une entité, mais aussi d’appréhender leurs sources. Les notes issues de ces ratings sont donc, des indicateurs pertinents pour la définition d’outils tactiques et des objectifs stratégiques en termes d’investissements, pour les entités qui veulent injecter et utiliser de l’argent dans un secteur ou au niveau d’une entreprise donnée, ou encore, pour optimiser et diversifier les sources de financement, pour une société émettrice.

L’application des actions des agences de notations

Les sociétés de notation doivent jouir d’un code d’application qui leur octroie une indépendance totale dans la mise en œuvre, tout en étant libre pour faire développer leur périmètre d’actions. De ce fait, leurs statuts doivent se voir sous deux aspects majeurs. Le premier concerne la valeur légale du rating. Selon la constitution américaine et la loi qui protège la liberté d’expression, les sociétés de notation délivrent des opinions. Cependant, dans ce cadre, leurs opinions ne sont ni des labels ni des certificats, fournissant une assurance scientifique. En second lieu, on doit percevoir l’indépendance de l’agence. En effet, depuis leur début, les sociétés de notation ont toujours clamé leurs non-affiliations à un gouvernement ou une organisation quelconque. Ce qui les différencie des sociétés de notation publique. De ce fait, par souci de crédibilité dans ce domaine, elles affirment leurs indépendances sous l’aspect administratif de leurs organisations, mais aussi, par rapport à l’aspect financier. Il en va de leurs efficacités de ne pas prendre le risque de sur évaluer une entité, dans les notes et les rapports, sous peine de se trouver dans une situation décrédibilisante.